Viol, inceste et avortement
Viol (inceste) et avortement
C’est exactement ce que Monsieur LSC a fait sur sa fille de 15 ans.
Ce fait relevant d’un film hollywoodien s’est passé pendant cette période de pandémie Covid-19 et plus grave encore en plein mois de carême.
LC, 37 ans marié et père de 6 enfants aurait jeté son dévolu sur sa fille FC qui gardait sa boutique et dormait sur place. Pendant les nuits le présumé, à 1 heure du matin allait rejoindre sa fille dans leur boutique jusqu’à l’engrosser. Pour cacher cet état de fait, il emmena sa fille chez un infirmier qui la fit avorter. En dépit il continua à entretenir des rapports avec elle trois fois de suite jusqu’à ce que sa fille n’en pouvant plus se confia à un proche, qui à son tour a alerté les autorités compétentes.
C’est ainsi que les services de l’OPROGEM se sont mis en branle pour mener les enquêtes et mettre main sur le présumé. Aujourd’hui 7 juin 2021 présenté au média, LC nie toutes allégations d’inceste et de grossesse. Il reconnaît avoir eu des relations intimes à trois reprises avec “sa nièce adoptive” après l’avortement mais nie être le papa de la fille et l’auteur de la grossesse.
En ces termes, l’infirmier LT, 37 ans qui a procédé à la procédure dit ceci << quand ils sont venus chez moi, j’ai demandé 1 million pour l’avortement mais ils ont plaidé pour 500 mille. J’étais d’accord et je leur ai dit que c’est une bonne idée d’avorter car la fille n’était pas physiquement mûre pour porter la grossesse…mais je m’excuse, je ne le referai plus>>. il est poursuivi pour avortement puni 263
l’infirmier
Quand au presumé qui est resté défiant depuis le départ aux interrogations des journalistes à répondu que << c’est la volonté de dieu et que les autorités le pardonne>>.
Les bruits courent que le presumé aurait été instruit de nier la paternité pour une sentence légère car dans l’article 268 du code penal, le viol par un ascendant va de la réclusion de 10 ans à 20 ans.
Le presumé
La fille a été médicalement prise en charge par l’unicef et les résultats des tests montrent une defloraison ancienne et beaucoup d’infections sexuelles.
L’ONG Protection Fille Femme de Guinée s’est constituée partie plaigante dans le dossier et suivra le cas à la justice.
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