Aux hommes,vos désidératas sexuels

Il n’y a aucun autre organe chez l’homme qui a déjà déshonoré la vie de nombreux hommes en tant que pénis. Le pénis pousse les hommes à parler pour rien, à mentir, à voler, à tricher, à perdre le sens de la vie, à trahir ; et la victime sera toujours une femme distraite…

Cet outil veiné qui se trouve entre les jambes d’un homme peut être très dangereux, ou un instrument d’amour. Très dangereux lorsqu’il est utilisé pour violer des enfants, des filles et des personnes âgées ; dangereux lorsqu’il est utilisé pour détruire sa famille, dangereux lorsqu’il est utilisé sur différentes femmes, pire lorsque l’homme est compromis. Le pénis n’est qu’un outil d’amour lorsqu’il est exclusivement réservé à une femme célibataire.

Malheureusement, il y a beaucoup d’hommes irresponsables avec le pénis. Ils pensent irrationnellement à l’érection. Ils méprisent le caractère et obéissent à la voix de l’érection. L’homme sera comme une femme pour ne pas apprendre à la connaître, mais pour transpirer sur elle. Mentir à une femme qui vous aime, alors qu’en fait l’objectif principal est de satisfaire le désir du pénis. Jetez votre vie, votre famille, tout pour vos pulsions sexuelles.

Messieurs, dès qu’un homme perd le contrôle de son pénis, il voit une femme comme un objet sexuel. La vie de l’homme sera autour du sexe, la famille est détruite, sa petite amie, sa fiancée, sa femme est vue comme une impasse, quelqu’un qui rend ses tours difficiles. Le mal devient le bien, il y a ceux qui le détestent, deviennent violents, battent leur femme pour avoir dit la vérité. Le téléphone portable contrôlé par le pénis d’un homme contient ou regarde généralement des vidéos et des images pornographiques.

Si vous êtes compromis, arrêtez d’obéir au pénis. Rester sur Facebook divertir les filles comme si vous étiez un homme libre.

Arrêtez d’être infidèle et enfantin, d’essayer de plaire au pénis et concentrez-vous sur votre partenaire. Tomber enceinte puis tuer l’enfant. Abandonner les enfants à leurs mères.

En continuant, restez connecté…

Par Ibrahima Kabassan Kaba, membre Honoraire de l’ONG Protection Fille Femme de Guinée